• 1 commentaire
  • Jolie chanson de Benabar, que j'aime bien écouter ces tps ci car elle correspond bien à mon etat d'esprit...

    D'ailleurs ce refrain :Ça ira mieux demain, du moins je l'espère, parce que c'est déjà ce que je me suis dit hier. m'a saisie la première fois que je 'lai écouté car je me suis souvent dis ça...

    On ne nait pas déprimé , on ne fait pas exprés de l'être...

    Le mal de vivre est une souffrance réelle, qui s'empare bien d'esprits...

    Je ne sers à rien, mon blog ne sert à rien c la vie...

    Pour l'instant je vous invite à lire les paroles de la chanson de Benabar

    A+++ pour des news plus joyeuses

    Triste compagne

    Benabar

    Ce n'est pas le mal de vivre, non ça c'est réservé aux esthètes à la dérive, qui jugent la déprime démodée. Je n'ai pas la gourmandise qui consiste à tout détester, c'est pas pour moi le mal de vivre, c'est beaucoup trop raffiné.

    Ça ira mieux demain, du moins je l'espère, parce que c'est déjà ce que je me suis dit hier.

    La larme à l'oeil en automne parce qu'elles sont mortes les feuilles, alors qu'j'les connaissais à peine, elles étaient même pas d'ma famille. Ce n'est pas par désespoir, il faudrait vaille que vaille souffrir du matin au soir, c'est beaucoup trop de travail.

    Ça ira mieux demain, du moins je l'espère, parce que c'est déjà ce que je me suis dit hier.

    Ce n'est pas non plus du spleen pourtant c'est toujours à la mode, mais c'est de la déprime qui frime le spleen, c'est beaucoup trop snob. Et c'est pas de la mélancolie, c'est dommage ça m'aurait plu, mais les chanteurs ont déjà tout pris, y'en avait plus. Ce n'est qu'une triste compagne, une peste qui murmure, "N'oublie pas que tout s'éloigne et ne restent que les pleurs".


    1 commentaire
  • Je suis profondément déprimée en cette soirée de janvier...

    J'ai plus envie de rien plus envie d'ecrire...Je ne me sens pas bien...

    Je ne ressens plus trop de plaisir  à vivre ici bas...

    Ma vie est une succession d'echecs...Je fais tjrs tout de travers...

    Je ne suis pas quelqu'un de bien, je  sers un peu rien...

    Ces lignes sont bien tristes je l'avoue, je ne devrait pas dire des choses

    comme ça mais j'en ressens le besoin...

    J'ai versé aujourd'hui des larmes amères...

    Les amis que j'avais sont devenus de vagues souvenirs...

    J'ai vraiment du chagrin ,j'ai vraiment de la peine enfin tout le monde la

    connait cette rengaine...

    J'ai trop de defauts pour qu'on m'apprécie rien qu'un peu,

    j'essaie de les corriger mais le naturel revient au galop...

    Je voudrai être differente,un peu plus vivante...

    Cela me fatigue de constater qu'on est plus content de me perdre

    que de me trouver...


    1 commentaire
  • J'aime bcp Barbara surtout cette chanson, dis quand reviendras tu...

    Elle va bien ac mon humeur du moment...

    DIS, QUAND REVIENDRAS-TU
    paroles et musique: Barbara

    Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
    Voilà combien de temps que tu es reparti
    Tu m'as dit: «Cette fois, c'est le dernier voyage»
    Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage
    «Au printemps, tu verras, je serai de retour
    Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour
    Nous irons voir ensemble les jardins refleuris
    Et déambulerons dans les rues de Paris!»

    REFRAIN:
    Dis, quand reviendras-tu?
    Dis, au moins le sais-tu
    Que tout le temps qui passe
    Ne se rattrape guère...
    Que tout le temps perdu
    Ne se rattrape plus!

    Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà
    Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois
    À voir Paris si beau en cette fin d'automne
    Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne
    Je tangue, je chavire, et comme la rengaine
    Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne
    Ton image me hante, je te parle tout bas
    Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi

    REFRAIN

    J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours
    J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour
    Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir
    Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs
    Je reprendrai la route, le monde m'émerveille
    J'irai me réchauffer à un autre soleil
    Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin
    Je n'ai pas la vertu des femmes de marins [au masculin: ... des chevaliers anciens]

    REFRAIN


    votre commentaire
  • Ac son roman oreiller d'herbes Natsume Sôseki nous entraine ds un univers poètique et philosophique...

    le heros du roman, est un peintre qui se retire ds les montagnes,pour se reposer mais surtout pour faire le point sur son art..

    L'auteur est en quète "d'impassibilité"...

    extrait du roman oreiller d'herbe p113:

    "pas inhumaine mais impassible.Et quand on lit un roman ac impassibilité on se moque de l'intrigue.J'ouvre le livre au hasard comme je tirerais au sort et je lis la page qui me tombe sous les yeux et c là ce qui est interessant."

    Ds oreiller d'herbe on trouve des descriptions qui enchantent le lecteur, mais ce roman est aussi un essai sur la réflexion poètique et artistique..

    p79 :

    "il s'agit simplement d'un état d'esprit.Comment exprimer ds ce tableau cet état d'esprit ?Ou plutot le pb est de savoir par quel moyen concret je peux donner corps à cet état d'esprit afin que les gens qui puissent comprendre.."

     
    Le titre de ce roman oreiller d'herbe est une expression poètique couramment utilisée ds la rhétorique japonaise pour se référer au voyage...

    Conscient de la singularité de son oeuvre l'auteur écrivit:"Si ce roman Haiku s'avère possible il ouvrira de nouveaux horizons ds la litterature.Il ne me semble pas que ce type de roman ait existé en occident.En tout cas il n'y en a jamais eus de tels au Japon."


    En fait j'ai decouvert par hasard cet ouvrage de Soseki,dans la bibliotheque familial..Je ne connaissais pas du tout cet auteur...C'est le titre qui a attiré mon regard...Ct la première fois que je voyais ce livre,donc je l'ai ouvert comme ça par hasard, et la première page m'a ,comment dire, pratiquement envouté...

    En voici un extrait p7:

    "je gravissais un sentier de montagne en me disant: à user de son intelligence, on ne risque guère d'arrondir les angles.A naviguer  sur les eaux de la sensibilité on s'expose à se laisser emporter.A omposer sa volonté,on finit par se sentir à l'étroit.Bref il n'est pas commode de vivre sur la terre des hommes.

    Lorsque le mal de vivre s'accroit ,l'envie vous prend de vous installer ds un endroit paisible."


    2 commentaires