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    Si la vie un jour me fait trop mal,



    pêtre qu'un jour je deviendrai à mon tour une étoile



    et j'irai briller ac ces autres étoiles disparus trop tôt...



    Quand la vie s'acharne sur vous,



    vous faîtes rarement rarement de vieux os...



    tant pis pour mon amoureux,



    je lui donnerai rdv là haut...



    Sil vient tant mieux,



    Sinan tant pis,



    moi je lui donnerai rdv là bas ,



    ds cette endroit  ou il n'y a plus de vie,



    de tristesse ni de joie...



    Vui les étoiles sont  presque éternelles,



    elles eclairent la tristesse de ce monde ici bas...


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    En ce moment je lis "les diaboliques" qui est un recueil de nouvelles écrite par Barbey d'aurévilly, qui est un auteur du 19 ième siècle...Là vous pouvez vous demander kel est le rapport entre Barbey d'Aurévilly et ce poème de Baudelaire que je viens de pubblier...Tout d'abord Barbey D'aurévilly était comme Baudelaire un adepte du dandysme et du décadentéisme puis ct surtout son complice en mysoginie.Voilà donc le lien entre ce poème "Une charogne" et les écrits de barbey d'aurévilly...Les femmes ds les poèmes de Baudelaire sont damnées ou même vampires...



     Barbey d'Aurévilly est un post-romantique.Il diabolise lui aussi la femme...Ds ces nouvelles c'est elle qui semble être le plus proche du mal....



    Je vous parlerai d'ailleurs une autre fois plus en détails de l'oeuvre de Barbey d'Aurévilly "les diaboliquesé...



    Pour l'instant je vous laisse en compagnie de ce poème de Baudelaire :



    Au plaisir



    Une Charogne



    Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
    Ce beau matin d'été si doux:
    Au détour d'un sentier une charogne infâme
    Sur un lit semé de cailloux,


    Le ventre en l'air, comme une femme lubrique,
    Brûlante et suant les poisons,
    Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
    Son ventre plein d'exhalaisons.


    Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
    Comme afin de la cuire à point,
    Et de rendre au centuple à la grande Nature
    Tout ce qu'ensemble elle avait joint;


    Et le ciel regardait la carcasse superbe
    Comme une fleur s'épanouir.
    La puanteur était si forte, que sur l'herbe
    Vous crûtes vous évanouir.


    Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
    D'où sortaient de noirs bataillons
    De larves, qui coulaient comme un épais liquide
    Le long de ces vivants haillons.


    Tout cela descendait, montait comme une vague
    Ou s'élançait en pétillant
    On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
    Vivait en se multipliant.


    Et ce monde rendait une étrange musique,
    Comme l'eau courante et le vent,
    Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
    Agite et tourne dans son van.


    Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
    Une ébauche lente à venir
    Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
    Seulement par le souvenir.


    Derrière les rochers une chienne inquiète
    Nous regardait d'un oeil fâché,
    Epiant le moment de reprendre au squelette
    Le morceau qu'elle avait lâché.


    - Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
    A cette horrible infection,
    Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
    Vous, mon ange et ma passion!


    Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
    Apres les derniers sacrements,
    Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
    Moisir parmi les ossements.


    Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
    Qui vous mangera de baisers,
    Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
    De mes amours décomposés!


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     Voici un nouveau poème mélancolique pour changer, c vrai que ça manquait ^^ oD....




     




    Des jours comme ça




     




    Il y a des jours comme ça, ou elle a envie de rien




    Des jours comme ça ou elle a une seule envie tout oublier,




    S'échapper pour allez ou ? elle ne sait pas...




    Il y a des jours comme ça, ou elle aimerait ne plus exister...




    Une seule envie s'éliminer...




    Des jours ou elle ne fait rien car elle sait d'avance que quoi qu'elle fasse




    Cela mènera tjs à une impasse...




    Il y a des journées comme ça bien noires,




    Ou elle ne sait plus comment faire disparaître




    Ce désespoir si pesant...




    Oui il ya des jours comme ça, ou certains souvenirs font mal




    Et elle préfèrerait qu'ils n'aient jamais existé...




     Durant ces jours là elle ne préfère parler à personne,




    On peut bien l'appeler elle ne répondra pas au téléphone...




    De toute manière elle sait qu'on ne peut rien pour elle




    Et qu'elle ne peut rien pour personne...




    Elle préfère attendre ds l'ombre que ça se passe,




    Que la douleur s'estompe...




    Puis viendra un jour ou elle recommencera à sourire,




    ou elle nettoiera ses souvenirs,




    et retrouvera le goût de vivre,




    enfin jusqu'à quand.... ?



    nul ne le sait...




    Vu comme ça survivre ne semble pas  si sorcier


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     poème parlant de la mélancolie qui nous rappelle chaque jour que nous ne sommes plus des enfants...


     


    Je vis ici pêtre Est-ce ailleurs,


    Dans mon monde il n'y a plus d'heure.


    Depuis bien lgtps s'est arrêté la pendule de mon cœur ....


    L'angoisse et les doutes m'emmurent,


    Et je n'entend plus que ce chant mélancolique


    Qu'une voix chaque jour me susurre..


    .Vivre ou disparaître,


    Je ne me pose même plus la question,


    Je sais seulement qu'il n'y a plus d'espoir...


    Je croise les gens sans vraiment les voir,


    Sans vraiment les entendre,


    Ils ne sont source que de déboires,


    De toute façon personne ne peut me comprendre...


    Tout semble flou, tout semble noir,


    Tous les jours c le même désespoir


    Qui se dessine sur mes joues


    Tous les jours c la même rengaine,


    Quand s'effacera ma peine...


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  • Train thalys, gare du nord c'est à lui qu'elle pensera encore...



    Même si elle sait qu'elle ne le reverra jamais...



    9h heure du départ, ces fauteuils rouges ont quelques choses de familiers,



    Il lui rappelle les t g v français...



    Elle arrivera à Bruxelles midi une heure et demi plus tard



    Juste le tps de faire quelques pas sur le quai bruxellois,



    Comme promis elle retrouvera son ami à la gare...



    Samedi passé sous la pluie à Bruxelles



    Il marche à coté d'elle...



    Ils regarderont vaguement les vitrines,



    Ces cheveux longs dégoulinent....



    Ils prendront le second escalator,



    Changement de décor



    1er voyage e, tramway,



    Ils déjeuneront prés de la grande place



    Et tjs ce mauvais tps qui les menacent....



    Samedi passé à Bruxelles sous la pluie



    Elle marche à coté de lui,



    Ils mangeront des gaufres sucrés...



    De blancs ces vêtements noirs seront tâcheté...



    Après avoir longuement marché,



    Ils se poseront tous les trois ds un bar,



    Pour boire une bière de l'amitié...



    Juste le tps de grignoter quelques bretzels



    Il se penchera vers elle pour lui donner un baiser.



    Samedi passé sous la pluie à Bruxelles



    Ils déambuleront ds quelques ruelles...



    Il lui offrira des pralines Léonidas



    Et tjs ce mauvais tps qui les menacent...



    Après une ou deux crik belle vue,



    Quelques fous rires ds la rue,



    Ce n'est que le soir



    Qu'ils reviendront à la gare....



    Ac le train thalis elle repartira comme elle est venue,



    Des images pleins la vue...



    Ce n'est qu'arrivée à gare du nord,



    Elle prendra conscience,



    Que pêtre il allait un peu lui manquer...


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