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Par indochina le 2 Janvier 2006 à 17:46
J'aime bcp cette chanson...
Linda Lemay a cette manière bien elle de raconter des instants de la vie de chacuns...
C rare de nos jours les chanteurs à textes...Maintenant, bcp d'artistes se foulent pas bcp ds l' ecriture de leurs chansons Ils repetent 50 fois le même refrain et ça va pas plus loin et le pire c'est que ça suffit pour en, faire un tube...Pourtant une chanson, c comme une petite histoire, il faut qu'elle est un sens...
Les deux hommes
Linda lemay
Ils voulaient devenir parents, les deux hommes
Et ils se sont battus longtemps
Pour avoir tout simplement, les deux hommes
Les deux têtus, les deux amants
a une famille...alors ils ont
Adopté un joli poupon
Ils sont enfin devenus papas, les deux hommes
et comme tous les papas sérieux
Ils se sont creusé malgé eux, les deux hommes
Des cernes mauves sous les yeux
A chercher la meilleure façon
de s'occuper d'leur nourrisson
Il n'aura pas eu de maman, le petit môme
N'aura tété que des biberons
N'aura pas connu ces seins blancs que l'on donne
a tant d'autres petits garçons
dans ces maisons ou ça s'querelles
Ils'y arrivaient pas trop mal, les deux hommes
Les deux amoureux, les deux mâles
Même s'il était clair dans la tête des deux pères
qu'ils ne pouvaient pas se permettre
Les mêmes faiblesses que l'on pardonne
a tous les parents de la Terre
Il aura grandi calmement, le garçon
jusqu'a cinq ans, jusqu'a l'école
Ou bien sur quelques garnements se moqueront
en le traitant de fils de folle
Et il en gardera des séquelles
Il reniera ses parternels
ils étaient de braves parents, les deux hommes
Mais l'monde étantc'qu'il est devenu
L'amour, ben c'est pas différent pour deux hommes
souvent l'amour, ca en peut plus
Et ce fut l'cas d'cet amour-la
Les deux hommes ont baissé les bras
Un tel échec fait toujours mal, on n'veut pas
Se r'trouver monoparental
Mais quand tu t'fais appeler pédale et papa
Là t'es un homoparental
Pour les langues sales et les jugements
Les "on l'savait qu'ça foutrait l'camp"
Ils feront tout pour consoler leur enfant
Leur adolescent partagé
Qui tentera vien de n'pas rêver d'sa maman
De sa peau tendre et satinée
Et d'son épaule comme une gouttière
Pour y déverser ses rivières
Ils seront toujours les parents, les deux hommes
de l'homme que leur fils deviendra
et m^me s'ils n'entreront jamais dans les normes
s'ils auront été maladroits
Ils n'auront pas perdu le droit
D'être des hommes dignes et droits
Ils seront toujours des papas, les deux vieux
et leur garcon s'en souviendra
Quand a son tour il embuera ses beaux yeux
En tenant un poupon dans ses bras
Et c'st à temps qu'il comprendra
Un petit peu mieux les deux hommes
et c'est à temps qu'il reviendra
Avant que ses papas s'endorment.
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Par indochina le 24 Décembre 2005 à 16:09
clipart d'indo , pris sur le site http://kaobang.fr.st/
juste toi et moi : indochine
Oh comme des cygnes
Comme toi et moi comme des étoiles
Nous resterons si pâles
Oh comme les cygnes
Juste toi et moi un peu trop sales
On n'a rien fait de mal
Et on s'enfuit et on voudrait
Rester en vie tout essayer
Aimer la pluie et les fleurs noires
Rester unis sans trop y croire
Nous sommes le signe
Que toi et moi comme le métal
Nous resterons si mal
Nous sommes le signe
Juste toi et moi notre arsenal
On n'a rien d'anormal
Et on séduit dans l'univers
D'oser les dragons et rester fiers
Plonger nos corps dans les eaux noires
Rêver nos vies sans trop y croire
Mais si demain que l'on s'éloigne
Que tu t'en ailles - trop loin -
Si je ne reviens pas alors jure-le-moi
Tu me tueras
Juste toi et moi oh oh
comme des étoiles oh oh
Qui se rejoignent oh oh
On se tuera oh oh
Oh comme des cygnes
Comme toi et moi comme les étoiles
Nous resterons si pâles
Oh comme les cygnes
Juste toi et moi un peu trop sales
On n'a rien fait de mal
comme les étoiles
comme les étoiles
comme toi et moi
Juste toi et moi ...
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Par indochina le 21 Décembre 2005 à 23:08
Marylin
Embrasser le garçon sur la bouche
Et puis se mouiller
L'emmener dans le fond du couloir
Et puis se brûler
être blanc être pâle
Se rechercher la vie
Se faire mal
En se disant que juste après
Juste après
On n'le regrettera surement pas
Juste après
Moi je veux vivre, vivre, vivre un peu plus fort
Embrasser la fille sur les lèvres
Et puis decider
Descendre pas à pas
En bas de l'escalier
Encore plus bas
Ne pas savoir qui l'on va trouver
Dans le fond
Ce qu'est la vie,
Ce que j'en sais,
Ce qu'il faut croire
Moi je veux vivre, vivre,vivre encore plus fort
Et puis se sacrifier
Et puis se crucifier
Sans hommage
Et puis rester cachés
Les corps écartés sans espoir
S'abandonner ne plus jamais
S'en déplaire
Juste en fermant les yeux
S'imaginer ses dieux
Nous on veut vivre,vivre,
Vivre encore plus fort,
Encore un peu...
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Par indochina le 21 Décembre 2005 à 16:15
aDora
Nicola sirkis/ olivier gerard - Nicola sirkis
Là je realise,
que tu me fais mal,
mais que j'aime ça
moi,j'idéalise
quand tu me fais mal
mais que j'adore ça...
Quand on s'approche de moi je suis
de loins en moins tranquille
il semblerait que mon fiancé soir une fille
j'aimerai bien te
raser les cheveux
voir l'allure que ça te fait
tes parents auront peur de moi
enlève toi
toi
tu m'apprendras
que mon heure est grave
je ne te quitterai jamais
je reste en vie et je reussis à grandir et à sourire
ça fait quand même un mal de chien d'être bien
dis moi
es ce que tu voudras
encore
te pencher sur moi
dis moi
es ce que tu sauras
encore
te coucher sur moi
enlève moi
ou que tu sois...
et donne moi
et montre moi
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Par indochina le 8 Décembre 2005 à 13:27
je la trouve tellement magnifique cette chanson de Barbara...Jsais pas vous, mais on trouve plus aujourd'hui d'aussi belles chansons... C pas nolwenn,qui va prendre la relève lol
L'aigle noir Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,
Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L'oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m'était revenu,
Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,
Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée
Seule avec mon chagrin
Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac, je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'aigle noir...
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