• "Je suis un chat" est le deuxième roman que j'ai lus de Sôseki...J'avais commencé par "oreiller d'herbe..."Enfin voilà j'espère que j'aurai l'occasion de lire d'autres romans de cet auteur...

    En ce moment je lis "Kafka sur le rivage" de Haruki Murakami, un auteur japonais qui a d'ailleurs lus l'oeuvre complète de Sôseki...Je vous en parlerai plus tard , pour l'instant je vais vous parler du roman "je suis un chat" de Sôseki...

    J'ai bcp aimé ce livre que j'ai trouvé trés drôle...Alors que pêtre on devrait pleurer au contraire on rit follement.Je partage bien l'idée du traducteur Jean cholley, qui conclut sa préface en disant: "Je suis un chat comble à lui seul cette lacune ac un rare bonheur et suffit amplement à démentir l'opinion si répandue selon lasquelle les japonais manquent d'humour..."

    Tous ses personnages s'agitent sous l'oeil froid et amusé d'un chat qui ne s'y trompe jamais lui:aucun ridicule ,n'échappe à ce nactylope...

    Le chat fait preuve d'une grande maturité dés son arrivée chez le professeur Kushami... Sa famille d'adoption ne lui donne pas de nom..."jsuis un chat ,je n'ai pas de nom".Il est seulement tolèré ds cette famille qui préférerait être débarassé de lui.

    A la fin du livre le chat meurt...Comment me demanderez vous ? Ben pour savoir cela il faut que vous lisiez le livre,car ça n'aurait aucun intéret si je vous le disez la tout de suite...

    "Je suis entrain de mourir.La paix s'obtient ds la mort.Il faut mourir pour entrer ds la paix."

    Ce livre est une satire désopilante, d'une société en transition et même en danger de perdition.

    Enfin voilà si vous voulez comprendre le japon identifiez-vous au chat de Sôseki...


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  • J'ai bcp aimé ce livre de Daï Sijie "Balzac et la petite tailleuse chinoise "

    J'ai vu l'adaptation cinématographique de "la petite tailleuse chinoise  et j'ai trouvé que le film était un bon compte rendu du livre...

    Ce qui est rare...D'habitude les adaptations cinematographiques d'un roman,sont souvent décevantes...

    Le narrateur et son ami Luo sont plongés, en cette année 1971, dans la folie de la révolution culturelle chinoise. Tous les deux fils "d'ennemis du peuple", ils doivent payer comme leurs parents le fait d'appartenir à la classe bourgeoise des "intellectuels", c'est-à-dire que seule une rééducation par le travail au bon air de la montagne peut faire d'eux à nouveau des Chinois dignes de Mao. 

    c dans cette montagne perdue au doux nom de "phoenix ds le ciel", que les deux jeunes gens sont réeduqués...Ils y rencontreront la ptite tailleuse chinoise, qui est la plus jolie de la montagne...La découverte d'une valise aux livres va bouleverser leurs vies, et surtout celle de la ptite tailleuse chinoises...Ils l'initieront aux plaisirs de la lecture...Elle decouvrira en lisant Balzac, que :"la beauté d'une femme est un trésor qui n'a pas de prix...

    Voici quelques photos du film :


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  • "La cicatrice"... Si je me souviens bien, j'ai dut lire ce livre quand jt au collège, je sais plus en quelle classe jt exactement...C vrai que ça me fait retourner ds des souvenirs lointains les années collège...Mais si je parle de ce livre "la cicatrice " Lowery, aujourd'hui ds mon blog,c parce que c un roman assez dur qui m'avait bcp marqué ...Je l'avais relus plusieurs fois d'ailleurs...

    Bref résumé de la vie de l'auteur :

    Bruce Lowery était un auteur americain...Il avait composé son oeuvre la cicatrice directement en français mais il fut obligé de la traduire ds sa langue natale.Il est né en 1931 ds le nevada.Il fit ses etudes aux etats unis avant de s'etablir en France ou il a passé une licence de lettres et un diplome de l'ecole de journalisme...

    Ac ce roman Bruce lowery presente le drame bouleversant de cet enfant Jeff différent des autres et rejeté par eux.Plus il cherche à sortir de sa solitude, plus il s'y enfonce,car le monde de l'enfance est aussi de la cruauté inconsciente...

    Je pense pas qu'il faut avoir obligatoirement souffert de la difference, du rejet pour comprendre la souffrance de Jeff, quoi que...

    Ce roman est un  reflet de notre société...Et l'ecole est une micro société...

    Je ne sais pas si on peut faire un résumé de ce roman, car je pense que l'histoire de Jeff ne se raconte pas...Car si elle est vraie ,il faut la lire , cad la vivre...

    extraits du roman :

    p7:

    - dis maman,lui demandai-je, Dieu est bon, n'est ce pas ?

    -Oui bien sur.

    -Alors si Dieu est bon,pk m'a t'il fait une cicatrice ?

    Ainsi le petit Jeff s'interroge et interroge les autres sans trouver de réponse.

    " j'entrevoyais le jour,ardamment désiré,ou grace à Willy je serais accepté aimé par tous.."

    Espoir de Jeff qui espère graçe à Willy être accepté par ses camarades de classe.

    "caché à l'intèrieur,un oeuf vert et sur la coque,ces mots laissés en blanc:

    "jet'aime"(....)

    "Bubby c'etait noel, le chateau de neige , ct ce petit compagnon,qui venait me chercher à la porte de l'école.Cet oeuf renfermait pour moi un certain sens de la vie.Il m'a fait comprendre bcp de choses(..)"

    "Et penser que je lui avais dit qu'aimer,il ne savait pas ce que ça voulait dire..."

    Fin tragique de Bubby ,frère de jeff...



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  • Ac son roman oreiller d'herbes Natsume Sôseki nous entraine ds un univers poètique et philosophique...

    le heros du roman, est un peintre qui se retire ds les montagnes,pour se reposer mais surtout pour faire le point sur son art..

    L'auteur est en quète "d'impassibilité"...

    extrait du roman oreiller d'herbe p113:

    "pas inhumaine mais impassible.Et quand on lit un roman ac impassibilité on se moque de l'intrigue.J'ouvre le livre au hasard comme je tirerais au sort et je lis la page qui me tombe sous les yeux et c là ce qui est interessant."

    Ds oreiller d'herbe on trouve des descriptions qui enchantent le lecteur, mais ce roman est aussi un essai sur la réflexion poètique et artistique..

    p79 :

    "il s'agit simplement d'un état d'esprit.Comment exprimer ds ce tableau cet état d'esprit ?Ou plutot le pb est de savoir par quel moyen concret je peux donner corps à cet état d'esprit afin que les gens qui puissent comprendre.."

     
    Le titre de ce roman oreiller d'herbe est une expression poètique couramment utilisée ds la rhétorique japonaise pour se référer au voyage...

    Conscient de la singularité de son oeuvre l'auteur écrivit:"Si ce roman Haiku s'avère possible il ouvrira de nouveaux horizons ds la litterature.Il ne me semble pas que ce type de roman ait existé en occident.En tout cas il n'y en a jamais eus de tels au Japon."


    En fait j'ai decouvert par hasard cet ouvrage de Soseki,dans la bibliotheque familial..Je ne connaissais pas du tout cet auteur...C'est le titre qui a attiré mon regard...Ct la première fois que je voyais ce livre,donc je l'ai ouvert comme ça par hasard, et la première page m'a ,comment dire, pratiquement envouté...

    En voici un extrait p7:

    "je gravissais un sentier de montagne en me disant: à user de son intelligence, on ne risque guère d'arrondir les angles.A naviguer  sur les eaux de la sensibilité on s'expose à se laisser emporter.A omposer sa volonté,on finit par se sentir à l'étroit.Bref il n'est pas commode de vivre sur la terre des hommes.

    Lorsque le mal de vivre s'accroit ,l'envie vous prend de vous installer ds un endroit paisible."


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