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    Ce réveillon de nouvel an qui se déroule chez mes parents comme chaque année est particulièrement chiant cette année...Tellement chiant  que j'ai eu envie après l'apéritif d'écrire un texte sur ce blog pour me calmer...Je pouvais même pas boire pour me détendre ou pour tout simplement oublier mes parents veiller au nb de verre que je buvais...Javais mon lecteur mp3 ac moi mais mon père a allumé la Tv et là jai plus supporter...Je voulais au depart illustrer ce texte ac les paroles d'une chanson de LGS "les bonnes résolutions " mais finalement je préfère mettre les paroles d'une chanson de Mano Solo "mordre à pleine dents"...Je sais pas c le fait de voir les enfants des amis de mes parents qui sont encore en bas àge qui m'ont fait pensé à cette chanson ...Quel idée ils ont eu de faire un cinquième marmot nan mais je vous jure à 40 piges passé presque 50 enfin jsuis bien contente que ça soit pas les miens d'enfants...



    Même si ce réveillon du nouvel an est un peu du gachis allez soyons conformiste  je vous souhaite une bonne et une heureuse année...



    Portez vous bien,



                                     à tantôt





    Pas du gâteau



    Mano Solo

    Y'en avait plein les jardins
    Y'en avait plein les cours d'immeubles
    Des p p'tits bambins
    Des ptis parisiens
    Et même des p'tits gavroches
    Les deux mains au fond des poches
    Qui te matent en coin
    Avec des têtes de p'tits malins
    Alors j'ai dit
    Allez viens mignonne
    on en fait un
    on l'tiendra par la main
    Tous les trois
    on rigolera bien
    Mais c'est là que t'as dit
    Qu'la vie c'est pas du gâteau
    Et qu'on fera pas de vieux os
    On fera pas d'marmots
    Pour leur gueuler tout haut
    Qu'la vie c'est pas du gâteau
    Même si je gagne pas ma vie
    Et même si j'ai le SIDA
    moi ça m'coupe pas l'envie
    moi j'me dis pourquoi pas
    J'voudrais mordre à pleine dents
    Dans les joues roses d'un enfant
    J'lui dirai salut mon p'tit gars
    lui m'dirait salut papa
    J'l'emmenerais faire des conneries
    Tous les trucs qui sont pas permis
    Comment guédra les meufs
    Comment c'est qu'on fait la teuf
    moi tu vois avant d'crever
    J'voudrais laisser couler
    D'la morve d'un petit nez
    Un p'tit sourire
    un p'tit bout d'éternité
    Tu m'dis que tout ça c'est des fantasmes
    Et j'ai du mal à t'contredire
    Mais j'voudrais quand même
    Laisser une trace
    Avant d'partir
    Avant d'mourir
    Et même si la vie
    C'est pas du gâteau
    Et qu'on fera pas de vieux os
    On fera pas d'marmots
    Pour leur gueuler tout haut
    Qu'la vie c'est pas du gâteau


     


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    Ah je me souviendrai tjs de ce passage du petit prince, "la rencontre ac le renard..." Surement parce que je l'ai étudié quand jt en primaire, ne me demandez pas en quel classe je ne saurai pas vous dire....Mais aussi c pas seulement à cause de ça que je garde un souvenir marquant de ce passage...C surement à cause de cette phrase tiré de ce passage du ptit prince  qu'un ami m'a dit  :" l'essentiel est invisible pour les yeux il n'est visible qu'ac le coeur..."



    Il s'est averré par la suite que cet ami, A... était quelqu'un de faux et d'hypocrite un brin manipulateur quoi, bref un vrai renard en somme^^...Enfin c une autre histoire puis c pas le même renard dont on parle ds cette fable...Donc c à cause ou bien grace à lui je crois que ce passage m'a autant marqué...



    Voilà les mauvaises expèriences forgent le caractère...C bien connu "ce qui ne te tue pas te rend plus fort" , plus aigrie aussi j'ajouterai...



    A l'ecole de la vie on ne fait pas de vieux os....



     



    Rencontre avec le renard







    C'est alors qu'apparut le renard.
    -Bonjour, dit le renard. ..
    -Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
    -Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
    -Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli..
    -Je suis un renard, dit le renard.
    Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
    -Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé
    -Ah ! pardon, Et Je petit prince.
    Mais, après réflexion, il ajouta:
    -Qu'est ce que signifie « apprivoiser » ?
    -Tu fi es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu!
    -Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie « apprivoiser » ?
    -Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
    -Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie « apprivoiser »?
    -C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens... »
    -Créer des liens ?
    -Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.
    Et je n' ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
    -Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
    -C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses.
    -Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince. Le renard parut très intrigué:
    -Sur une autre planète ?
    -Oui.
    -Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?
    -Non.
    -Ça, c'est intéressant! Et des poules ?
    -Non.
    -Rien n'est parfait, soupira le renard.
    Mais le renard revint à son idée:
    -Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
    Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
    -S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
    -Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de
    temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
    -On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
    Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
    -Que faut-il faire ? dit le petit prince.
    -Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
    Le lendemain revint le petit prince.
    -Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après- midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens
    n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le

    cœur. Il faut des rites.
    -Qu'est-ce qu'un « rite » ? dit le petit prince.
    -C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les
    filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
    Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche:
    -Ah ! dit le renard... je pleurerai.
    -C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal,
    mais tu as voulu que je t'apprivoise...
    -Bien sûr, dit le renard.
    -Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.
    -Bien sûr, dit le renard.
    -Alors tu n'y gagnes rien !
    -j'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
    Puis il ajouta:
    -Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
    Le petit prince s'en fut revoir les roses.
    -Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard
    semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
    Et les roses étaient gênées.
    -Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. on ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu' elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même Quelquefois se taire. Puisque c' est ma rose.
    Et il revint vers le renard:
    -Adieu, dit-il...
    -Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit
    bien qu'avec le
    cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
    -L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
    -C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
    -C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... lit le petit prince, afin de se souvenir.
    -Les hommes ont oublié, cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
    -Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir.


    Antoine de Saint-Exupéry


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    Pk cette chanson de Linda Lemay...parce qu'elle me fait penser à lui à chaque fois que je l'écoute...


     



    No comment...Pas trop envie d'écrire ce soir surement dut au fait que j'ai pas trop le moral...


     



     


    @+++ pour des nouvelles fraîches



    Ma plus belle déception



     




    Si l'amour m'a déçue
    C'est qu'l'amour ça déçoit
    C'est vrai que j'y ai cru
    C'est qu'l'amour on y croit
    Bien sûr que j'ai connu
    L'amour bien avant toi
    Des fois l'amour ça tue
    Et des fois pas
    Si l'amour m'a secouée
    C'est qu'l'amour ça secoue
    C'est vrai que j'ai aimé
    Que j'ai aimé beaucoup
    Si j'ai été déjouée
    C'est qu'lamour ça déjoue
    ça peut se déchirer
    Aussi vite que ça s'coud
    J'sais plus à quoi rêver
    quand il s'agit de nous
    J'essaie d'me raisonner
    Mais l'amour ça rend fou
    J'voudrais t'téléphoner
    Dès qu'tu t'éloignes de moi
    J'me mets à rayonner
    Dès que je t'aperçois
    Dis-moi à quoi j'ai droit
    Et puis je le prendrai
    Dis-moi à quoi rêver
    Et puis j'en rêverai
    Je ne demanderai rien
    Mais je ne fuirai pas
    Chaque fois que ta main
    Se posera sur mon bras
    Moi qui avait l'coeur en grève
    Tranquille à la maison
    J'sens monter à mes lèvres
    Cette fragile chanson
    Je sens grimper cette fièvre
    De mon ventre à mon front
    Cette passion dont on crève
    Ce si bel abandon
    Si l'amour m'a déçue
    C'est qu'l'amour ça déçoit
    D'l'amour j'en voulais plus
    Et bon sang te voilà
    C'est vrai que j'ai la frousse
    Mais si tu me la tends
    Cette main qui est plus douce
    Que toutes celles d'avant
    Je m'y cramponnerai
    Tant pis pour le naufrage
    Tu seras ma bouée
    Et je ferai bon voyage
    Puisque l'amour c'est con
    Et puisque ça déçoit
    Alors j'veux que tu sois
    Ma plus belle déception...


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  • J'ai découvert cette chanson il y a quelques jours un peu par hasard en trainant encore à des heures tardives sur le net...Je suis donc tombée comme ça par hasard sur une page my space...Et sur cette page  j'ai entendu cette chanson de Raphaël "la chanson du pauvre..."Vui je sais j'ai un gros défaut j'ai un blog ^^ mais non je ne créerai pas de page my space, non non sans façon...Puis j'ai pas d'amis enfin si mais pas bcp lol ^^Pour en revenir à Raphaël C'est l'air mélancolique de la chanson qui m'a d'abord touché puis je trouvais qu'elle sonnait bien ac la conversation que j'entretenais sur msn à cette h, il devait être 1 h ou 2 h du matin...Je ne sais plus ce que je disais oui mtnant ça me revient; il me demandait si j'avais passé une bonne journée, et moi je lui disais que "j'avais connu de meilleures journées vivement demain...""Mais on est dejà demain "m'a til répondu...j'ai regardé l'heure il n'avait pas tort...Puis j'aime bien le refrain de cette chanson :" nan nan bien content de partir, nan nan j'espère ne pas revenir..."Puis je me reconnais un peu ds ces pauvres gens qui érrent je ne sais ou sans avoir vraiment de chez soi, même si je n'ai jamais trop connu de ça...Enfin je touche du bois car je ne me prétend pas  être à l'abri de la précarité...C vrai d'après un sondage seulement 17 pourcent s'estime à l'abri d'être sdf..J'aime bien cette refrain ce refrain  car je me l'approprie et je la colle à mon histoire personnelle....Cela fais du bien parfois de pas s'attacher trop au texte et de faire fonctionner son imagination...Je ne me sens pas tranquille ds cette vie, Moi aussi j'aimerai m'en aller, m'écraser quelque part...Qu'il me pousse des ailes et que finalement mon âme s'envole au ciel..Hier jt ds mon bain, cette chanson résonnait délicieusement ds mes oreilles jt bien...Doucement j'enfonçais ma tête ds l'eau, les yeux fermés je m'en allais tout doucement juste quelques instants, mes cheveux longs flottant ds l'eau...Vui je m'en allais tout doucement juste pour gouter à ces quelques instants d'éternité déconnectée de la réalité...


    Enfin voilà @ plus tard pour des nouvelles fraîches !


    La ballade du pauvre



    Raphaël


    Je suis là chaque matin
    comme ça sur le chemin
    à regarder le jour qui va et qui vient
    à tendre la main


    Et je vis sous un pont
    probable que j'aime pas les maisons
    ma vie je l'ai quittée
    c'était il y a longtemps
    peut-être un été


    Ô mon vieux je suis noir
    et du soir au matin
    plein comme une malle-cabine
    raide comme un passe-lacet
    je connais même plus mon nom


    Je n'restarai pas trop tard
    j'aime mieux aller ailleurs
    là où ce s'rait pas pire peut-être même meilleur
    on peut toujours rêver


    Non non non non
    bien content de partir
    non non non non
    j'espère ne pas revenir


    Ils m'ont trouvé un matin
    raide comme un parchemin
    avec dans les poches
    deux trois souvenirs rien d'autre qu'une broche


    M'ont mené en camion
    dans un genre de maison
    où ils m'ont disséqué mon vieux
    Tu pouvais pas t'nir guère plus longtemps
    qu'ils disaient qu'ils disaient qu'ils disaient
    c'est pas brillant


    Non non non non
    bien content de partir
    non non non non
    j'espère ne pas revenir


    Je suis là chaque matin
    comme ça sur le chemin
    à regarder la vie qui va et qui vient
    qui colle à la peau


    Et je m'en vais ce soir
    je finirai bien quelque part
    loin des lits en papier de mes pieds blessés
    de leurs cheminées noires
    du vent du soir
    non non non non...


     


     


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    Mon père  m'a offert à Noël un film de Pedro Almodovar "Volver"...Cela m'a fait bien plaisir, je ne m'y attendais pas du tout puis j'ai tjrs aimé les films D'almodovar, d'ailleurs j'avais vu ce film cet été lors de sa sortie au ciné...Quand je l'ai vu au ciné ,je ne savais pas du tout de quoi parlait ce film je savais juste que ct D'Almodovar, donc je pouvais difficilement manquer d'aller le voir  puis je savais que celui ci avait offert ds ce film à Pénélop Cruz le rôle principal ...Vui vous savez on avait déjà aperçu pénélope cruz ds le film "tout sur ma mère" ou elle jouait un ptit rôle...




    Les films d'Almodovar sont souvent immorales, je le savais d'ailleurs ^^enfin cela ne gache pas le plaisir bien au contraire...Le spectacteur inconsciemment accepte ce pacte immoral et devient le complice des personnages du film...




     




    "Volver", ah ce titre est plein de sens, enfin je n'en dirai pas plus vous le découvrivez vous même en regardant le film...Donc Volver c'est l'histoire de trois générations de femmes...Ces femmes sont: Raimunda (Pénélope Cruz) mariée à un ouvrier au
    chômage, elle a une fille adolescente (Yohana Cobo). Sole (Lola
    Dueñas), sa soeur, qui travaille comme coiffeuse. Leur mère (Carmen
    Maura), est décédée lors d'un incendie avec son mari. Ce personnage
    apparaît d'abord à sa soeur (Chus Lampreave) puis à Sole,
    elle avait laissé plusieurs problèmes sans résoudre avec
    Raimunda et sa voisine du village, Agustina (Blanca Portillo).




    Hier je vous parlais de Magritte, c vrai si je parle de ça c parce qu'on pourrait penser que ce film est une fable surréaliste, mais ce n'est pas le cas même si ça lui ressemble...




    Ds "Volver" Les vivants et les morts vivent ensemble sans histoire, provoquant
    ainsi des situations hilarantes ou parfois des émotions intenses et
    véritables.




    Ac ce film le réalisateur nous montre une espagne réelle et contrastée...




    Enfin voilà après ce ptit résumé de "Volver" je ne peux que vous conseillez de le voir...C un film d'ailleurs à voir et à revoir...^^




    Bon ben voilà à plus pour des nouvelles fraîches !!




    Quelques photos du film :







     







     







     







     







     







     


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